11/06/2024

Toujours enthousiaste à l’idée de renforcer son équipe avec de nouveaux talents, la team Papillon les accompagne dans le développement de leurs compétences en les intégrant tout au long de projets stimulants. En octobre 2023, nous avons dit oui à notre nouvelle apprentie, Pauline, que nous avons interviewée pour apprendre à mieux la connaître.

Pauline en quelques mots ?

Pauline : Pauline, c’est une étudiante de 25 ans en alternance chez Objectif Papillon dans le cadre de l’obtention de son Master Digital Marketing & Communication à ISEG – Toulouse. J’occupe le poste de Chargée de Marketing Digital & Communication.

Parle-nous de ton parcours avant de rejoindre Objectif Papillon ? Qu’est-ce qui t’a conduite vers le digital ?

Pauline : Avant de rejoindre l’équipe Papillon, j’étais dans le commerce. Je me suis aperçue qu’il fallait développer un aspect de personnalité qui ne me correspondait pas, et que j’avais beaucoup plus d’intérêt pour la création, l’innovation et les nouvelles technologies.

Le digital, secteur récent et en constante évolution, me concerne particulièrement. Ayant grandi avec, l’idée de pouvoir y apporter une plus-value me stimule, d’autant plus que ce domaine impacte tous les secteurs.

Et tes missions ?

Pauline : Franchement à part le dev, je touche à peu près à tout ! De la conception de maquette web, à l’envoi de newsletters, en passant par la rédaction de contenus, ou encore par le suivi des performances clients… Je m’occupe aussi de la communication de l’agence et des événements.

Mon poste me permet de découvrir toutes les activités de l’agence et je trouve ça très formateur !

Qu’est-ce que tu aimes le plus/le moins dans tes missions ?

Pauline : Ce que je préfère, c’est laisser parler ma créativité pour la conception de maquette web, et m’occuper de la com’ et des events de l’agence ! Ce que j’aime le moins c’est le côté répétitif et redondant de la rédaction de contenus SEO.

Comment envisages-tu l’évolution du marketing digital dans les 5 prochaines années ?

Pauline : Je pense que l’IA va révolutionner le monde du marketing digital, et que 5 ans c’est déjà trop loin pour pouvoir imaginer les prochaines tendances de ce milieu, en perpétuelle évolution. Il y a 10 ans, nous pariions sur l’intelligence artificielle d’ici une trentaine d’années. Alors bon, à quoi aurons-nous droit dans 5 ans ?

Allez, parle-nous de tes influenceurs préférés ?

Pauline : Ma plateforme favorite, c’est Instagram. En y faisant un tour, j’ai noté que la plupart des personnalités que je follow partagent mon quotidien dans mes films, musiques, et divertissements préférés.

On y retrouve des mannequins internationaux (Bella Hadid, Sofia Richie…), des acteurs (Pierre Niney, Thimothée Chalamet…) des artistes de la musique (Travis Scott, Drake, Jul…) ou encore des pilotes de Formule 1 (Lando Norris, Carlos Sainz…)

Et si je dois choisir UNE INFLUENCEUSE que j’admire, c’est Selena Gomez, que j’ai suivie dès ses débuts dans les Sorciers de Waverly Place et qui, aujourd’hui, est une véritable femme d’affaires ; mais aussi chanteuse, mannequin, modéliste, cinéaste, actrice, réalisatrice artistique et auteure-compositrice-interprète.

Elle se bat depuis 2015 contre un lupus et reste très authentique sur Instagram. Elle sait partager ses moments de joie comme ses moments plus compliqués. Je la trouve très inspirante.

D’ailleurs, Dubaï or not Dubaï ?

Pauline : Not Dubaï ! Selon moi, Dubaï est le cadre parfait pour les influenceurs qui montrent leur richesse, font rêver leurs abonnés avec des soirées glamour, des resto étoilés et des villas de luxe. Il s’y installent notamment pour les conditions fiscales avantageuses.

Mais personnellement je considère cette ville comme superficielle et dépourvue d’âme. Je vous conseille d’ailleurs de regarder les 2 épisodes de Marie S’Infiltre à Dubaï qui met en avant la face cachée de la ville, les conditions de vie des ouvriers dubaïotes, les écarts sociaux et tout ce que l’on ne nous montre pas… Vous comprendrez !

Dernière question, pour tes futurs enfants, les écrans avant 3 ans ?

Pauline : JAMAIS ! J’ai lu que les écrans avant 3 ans empêchaient certaines connexions neuronales, et donc le bon développement du cerveau. Cela engendre pas mal de perturbateurs, comme des troubles du sommeil, des retards de langage, des problèmes d’attention… et j’en passe.

Je pense qu’il vaut mieux se concentrer d’abord sur le développement des sens avec des activités ludiques par exemple avant de mettre des écrans entre les mains de nos enfants !

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